*Que la lumière fut
Fatma S. Ben Hamida vous présente cet article pour la promotion d'une exposition de photographie de Aicha Skandrani, je vous laisse découvrir ...
Selon Anaxagore, « le visible ouvre nos regards sur l’invisible » … En effet, c’est ce que nous démontre, munie de sa clairvoyance, Aicha Skandrani à travers sa pellicule. En optant en faveur de l’obscurité qu’elle associe à des captures en mouvements rapides, c’est de cette manière qu’elle réussit a piéger cette lumière invisible à l’œil nu. Ces manifestations de spectres translucides à l’allure flottante qui contrastent avec les cieux obscurs, se distinguent de part leurs formes (quelque peu troublantes), de leurs couleurs et de leurs trajectoires. Paradoxalement, leur signification correspond à des signes et symboles qui fonctionnent comme des archétypes que l'on retrouve dans toute civilisation.
« Si nous voyons tous la même lumière, comment peut-on être différent ? » pense-t-elle. Croyant en l’amour et en la compassion, Aicha, jeune femme à la personnalité mystique a pour interprétation de revendiquer la paix et la coexistence des hommes et n’a pour seule motivation que de guider le monde vers la spiritualité et non pas vers une appartenance religieuse.
Pour sa première exposition en Tunisie :
TRANS (E) IMAGES EXPRESS >>>> plus qu’une découverte ...
Aicha Skandrani vous invite le vendredi 17 septembre à la galerie LE DAMIER de l'artiste peintre Sylvain Montéléone (mutuelleville) Une expérience hors du commun pour des frissons garantis ;)
Fatma S. Ben Hamida
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